C: Noch nicht übersetzte Lieder
A ceux qui veulent rester esclaves (2024)
Puisque le peuple veut que l’aigle impérial Plane sur son abjection, Puisqu’il dort, écrasé sous la froide rafale De l’éternelle oppression Puisqu’ils veulent toujours, eux tous que l’on égorge, Tendre la poitrine au couteau, Forçons, ô mes amis, l’horrible coupe-gorge, Nous délivrerons le troupeau ! Un seul est légion quand il donne sa vie, Quand ... Weiterlesen ... ...
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Filles d’ouvriers (1898)
Pâle ou vermeille, brune ou blonde, Bébé mignon, Dans les larmes ça vient au monde : Chair à guignon ! Ebouriffée, suçant son pouce, Jamais lavée, Comme un vrai champignon ça pousse : Chair à pavé ! A quinze ans ça rentre à l’usine, Sans éventail. Du matin au soir ça turbine : Chair à ... Weiterlesen ... ...
Jean Ferrat: La Commune (1971)
Il y a cent ans commun commune Comme un espoir mis en chantier Ils se levèrent pour la Commune En écoutant chanter Potier Il y a cent ans commun commune Comme une étoile au firmament Ils faisaient vivre la Commune En écoutant chanter ClémentC’étaient des ferronniers Aux enseignes fragiles C’étaient des menuisiers Aux cent coups ... Weiterlesen ... ...
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La Canaille (2024)
Dans la vieille cité française Existe une race de fer ; Dont l’âme comme une fournaise A de son feu bronzé la chair. Tous ses fils naissent sur la paille Pour palais ils n’ont qu’un taudis… C’est la canaille ! Eh bien ! j’en suis !Ce n’est pas le pilier du bagne ; C’est l’honnête ... Weiterlesen ... ...
La Danse des bombes (2024)
Amis, il pleut de la mitraille. En avant tous ! Volons, Volons ! Le tonnerre de la bataille Gronde sur nous… Amis, chantons ! Versailles, Montmartre salue. Garde à vous ! Voici les lions ! La mer des révolutions Vous emportera dans sa crue. Refrain : En avant, en avant sous les rouges drapeaux ! ... Weiterlesen ... ...
La Défense de Paris (1871)
Gesang Marcel Mouloudji Non jamais sur cette terre On ne vit en vérité, Pareille calamité, Ni plus affreuse misère, Que celle que l’on subit Sous le siège de Paris. Paris ! cette ville aimable, Qui donc ose l’assiéger ? Serait-ce cet étranger, Qu’avec un accueil affable Elle admettait dans son sein ? Oui, c’est lui ... Weiterlesen ... ...
La grève des femmes (1867)
Il surgit une autre Pucelle. Insurgeant la femme, elle dit : «Jusqu’à la paix universelle »Tenons l’amour en interdit. »A bas la guerre ! en grève ! en grève ! »La femme doit briser le glaive. »Nargue à l’époux, nargue à l’amant ! »Jusqu’au désarmement : »Les femmes sont en grève !» Coeurs dévoués, brunes ... Weiterlesen ... ...
Le Capitaine “Au mur“ (1872)
Au mur disait le capitaine La bouche pleine et buvant dur Au mur Qu’avez-vous fait ?Je suis des vôtres Je suis vicaire à Saint Bernard J’ai dû pour échapper aux autres Rester huit jours dans un placard Qu’avez vous fait ? Oh! Pas grand chose De la misère et des enfants Il est temps que ... Weiterlesen ... ...
Le Drapeau rouge (1870) (1870)
Vois cet humble drapeau, porté par ta victime… Meurtrier, sois épouvanté ! Ne baisse pas les yeux, grand artisan du crime, Devant ce linge ensanglanté : Ce linge est sa rude chemise Que ton égoïsme a rougi… Au bout d’une hampe il l’a mise… Et l’homme du peuple a rugi ! Quand l’ère du sang ... Weiterlesen ... ...
Marseillaise de la Commune (1871)
Die „Marseillaise de la Commune“ ist eine neue Version der Marseillaise, die während der Pariser Commune vom 18. März bis zum 28. Mai 1871 entstand. Der Text ist von Julie Favre (Mme Jules Favre). Zwei völlig unterschiedliche Fassungen. Die erste auf die bekannte Melodie der Marseillaise, die zweite Vertonung (Gérard Pieron) geht neue Wege… Français! ... Weiterlesen ... ...