Der Text von Louise Michel, die Musik von Pauline Floury und Sèverin Valérien
Quand la foule, aujourd’hui muette, Comme l’Océan grondera, Et qu’à mourir elle sera prête, La Commune se relèvera.Nous reviendrons, foule sans nombre, Nous viendrons par tous les chemins, Spectres vengeurs sortant de l’ombre, Nous viendrons nous serrer les mains.Les uns pâles, dans les suaires. Les autres encore sanglants. Les trous de balles dans leurs flancs. La mort portera les bannières.Le drapeau noir, crêpe de sang, Et pourpre, fleurira la terre Libre, sous le ciel flamboyant. |
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Wenn die Menge, jetzt still, |